Grâce à TriBeCa, j’ai assisté jeudi soir à mon premier concert à la Boule Noire. Et quel concert.
The Noisettes, un trio londonien que j’ai découvert en début de semaine grâce à leur myspace. Et même si mon iMac est assez fidèle niveau son, je dois dire qu’en live, ce groupe déchire encore plus.
Une première partie animée par The Rodeo, du pop folk américain qui passe bien et qui m’a permis de me régler niveau photo pour la tête d’affiche. La salle est assez sombre (normal pour un concert vous allez me dire) et les éclairages pas idéales pour les portraits. Enfin bon, je m’en suis bien sorti je pense.
30 minutes plus tard, The Rodeo quitte la scène. Je profite du mini entracte pour me faufiler avec Céline au plus près de la scène. Là, bien installé, j’attends avec impatience l’arrivée de Shingai Shoniwa. La musique débute et la panthère black entre en scène.
Une voix à tomber qui résonne dans toute la salle. Et des jambes, des jambes interminables …
D’ailleurs, elle ne met pas de temps à les faire bouger, emmenant avec elles tout son corps, sautant d’un bout à l’autre de la scène, jouant avec le batteur, s’accrochant au plafond …
L’ambiance est survoltée, The Noisettes c’est de l’énergie à l’état brut. Shingai saute alors de la scène et traverse le public pour se retrouver au milieu de la salle pour une chanson. L’ambiance devient alors plus calme mais est de courte durée. Dès son retour sur scène, elle remet le feu à La Boule Noire. Le concert se termine après un rappel sur la reprise de “Children of the revolution”.
Les lumières se rallument. Il me faut quelques minutes pour reprendre mes esprits et comprendre qu’il n’y a plus aucun bruit. Mes oreilles elles ne sont pas de cet avis. Elles jouent encore “Don’t upset the rhythm” et la font résonner dans ma tête. Pour mon plus grand bonheur.
Mes photos du concert
Les photos de Céline
Les photos de David