Psy de Nicolas Taffin au théâtre Le Méry

Psy de Nicolas TaffinIl y a quelques semaines, je suis allé voir Psy, le spectacle dans lequel joue Guillaume Eymard, le gentil manager de Themapic dont je vous ai déjà parlé dans un précédent article. Psy est une pièce de Nicolas Taffin qui nous fait voir le quotidien d’un psy parmi ses malades. Ses grands malades j’ai envie de dire car ils sont vraiment tous timbrés là dedans. C’est à se demander même parfois si le psy n’est pas encore plus fou que ses patients. Bref, vous l’aurez compris, Psy est une comédie, moins chère qu’une vraie consultation, plus digeste qu’un Prozac et dont on sort avec le sourire aux lèvres.

Je ne vais pas tout raconter, ce serait gâcher votre plaisir si vous comptez y aller. Je vous dirais juste qu’entre le playboy déprimé de n’avoir que du succès, l’ultra catho qui aime le S.M, le Tanguy de service et les jumelles chantantes, le psy et sa charmante secrétaire ne savent plus où donner de la tête. Les répliques fusent dans tous les sens, entrecoupées de chansons et de séries télés cultes (big up aux feux de l’amour).

Le psy prend même un malin plaisir à venir jouer avec le public. Quand je vous disais que le plus fou d’entre eux n’était pas forcément celui que l’on croyait.

Si vous voulez participer à une grande thérapie par le rire et sortir de là en vous disant que finalement, tout va bien dans votre tête, courez voir Psy. Le spectacle se joue au théâtre Le Méry, 7 place de Clichy dans le 17ème.

Et pour avoir des places à tarif réduit c’est ici : http://www.billetreduc.com/28876/evt.htm

Aki, le roi des okonomiyaki

Il y a une semaine, nous étions au Japon avec Céline. Enfin presque. Ce soir là, David nous faisait découvrir un fantastique restaurant japonais rue Saint Anne, à deux pas de l’Opéra Garnier (pour les non connaisseurs, la rue Saint Anne est LA rue des VRAIS restaurants japonais à Paris). Son nom : Aki. Sa spécialité : l’Okonomiyaki.

Gnééé ? L’okonoquoi ? Bon ok, l’okonomiyaki est une sorte d’omelette japonaise, préparée à base d’oeufs et de chou, avec au choix soit du porc soit des fruits de mer et recouvert d’une sauce caramélisée. Un mélange sucré/salé que j’adore.

Préparation Okonomiyaki

Okonomiyaki

Manger des okonomiyaki chez Aki ça se mérite et il faut savoir être patient car il y a du monde. Donc on a fait la queue. Une bonne vingtaine de minutes je dirais. Nous nous sommes installés ensuite au bar, juste devant les plaques chauffantes et avons regarder la cuisinière préparer les omelettes. Du grand spectacle.

Un menu à 13,50 euros avec une soupe miso, une salade et un okonomiyaki. Correct vu qu’après avoir englouti l’omelette, tu n’as plus vraiment faim. Le tout arrosé d’une petite bière Asahi. Que demander de plus ? Euh sortir du resto et se retrouver direct à Shibuya ? Non c’est pas possible. Alors faire un karaoké avec Scarlett ? Pas possible non plus. Arf dommage.

Alors pour manger autre chose que des makis et des sushis dans un japonais, pour apprécier le mélange sucré/salé et voir ton repas se préparer sous tes yeux, cours chez Aki !!!

Aki, 11 Rue Sainte-Anne, 75001 Paris, 01 42 61 48 38 (Google Maps)

La Q.E.M (Question Existentielle du Mercredi)

Broyer du noir, avoir des idées noires, déprimer, être désespérer, décourager, démoraliser, être abattu, avoir le moral à zéro ou dans les chaussettes (je vous rassure ça va très très bien dans ma vie c’est juste pour la question ^^), on a tous nos moments de tristesse.

Alors, pourquoi, quand on est triste, dit-on qu’on a le cafard ou qu’on a le bourdon ? Pourquoi pas la girafe ou la tortue hein ? Ou même l’antilope, c’est sympa une antilope aussi ?

Soirée de lancement du concours photo Fnac “Ma tribu, mon voisin, mon monde”

Il y a un an, la Fnac organisait les récréations photographiques, un concours photo dont le but était de se lâcher complètement devant l’objectif, de faire des photos complètement décalées. Il y a un an, j’ai participé à un après midi dans un studio photo avec tout plein d’amateurs, un après midi à jouer et à se marrer comme des enfants mais toujours entouré d’un matériel de pro.

Aujourd’hui, la Fnac remet ça avec son nouveau concours dont le thème est : “Ma tribu, mon voisin, mon monde“. Le but est simple : illustrer ce thème avec trois photos. Facile non ? Bon ok pas tant que ça. Le concours a commencé le 5 juin et se termine le 11 septembre. A gagner, un Nikon D700, un D300s et un D90 !!! A vous de jouer.

Pourquoi je vous parle de ça ?

Et bien parce que mercredi dernier avait lieu la soirée de lancement de ce concours dans un studio du sud parisien : le studio Pin-up. 3 étages, un restaurant et des pièces immenses. Au mur des portraits noir et blanc. Naomi Campbell, Elodie Bouchez et Laura Smet, entre autres. Le dernier étage sera notre terrain de jeu pour la soirée. Quelques dizaines de photographes (dont beaucoup de lenseurs) ont répondu présent à l’invitation, Lâm est là pour présenter la soirée et Rémi pour la shooter.

Entre petits fours et champagne d’un côté, passage obligé sur le canapé pour des photos spatiales made by Mr Chapeaublanc de l’autre, nous avons pu pendant quelques heures profiter du studio et d’une énorme lampe tout droit sortie de chez Pixar pour réaliser tous les clichés qui nous passaient par la tête. Puis le moment sérieux de la soirée est arrivé : le résultat du concours, que je n’ai malheureusement pas gagné. Qu’importe !!! Je vais retenter ma chance en envoyant de nouvelles photos. J’ai déjà mon idée de triptyque que je réaliserais pendant mes vacances d’été si tout va bien 🙂

Soirée de lancement du concours photo Fnac @ Studio Pin-Up / Photo by Rémi Chapeaublanc

La Q.E.M (Question Existentielle du Mercredi)

Un orteil qui se cogne contre une porte alors qu’on est pieds nus, une coupure sur le doigt à cause d’une feuille de papier, la tête qui tape contre la porte ouverte du placard de la cuisine, on s’est tous fait plus ou moins mal un jour. Mais je voudrais savoir un truc ce matin :

Pourquoi dit-on “aïe” quand on a mal ?