Le Coffee Parisien

Samedi, 15h. Nous sommes à deux pas du Marché Saint Germain et n’avons pas déjeuné. Le Coffee Parisien nous tend les bras.

Même en plein milieu de l’après midi, le restaurant est bondé. Nous attendrons dix minutes avant de pouvoir nous asseoir au fond de la salle.

Ambiance américaine. Les murs sont remplis de photos des présidents américains, d’affiches de pub, de propagande, d’élections. Non loin de notre table, un poster de Kennedy avec une citation : “When power corrupts, poetry cleanses.” Mouais pas convaincu John. Les sets de table sont fun : des portraits de tous les présidents américains avec les dates de leur(s) mandat(s). Sympa le petit cours d’histoire 🙂

Voilà pour l’ambiance.

Coffee Parisien

Dans notre assiette. Bagel pastrami pour elle, Obamac Burger (cheeseburger, pommes de terre et coleslaw) pour moi. Le tout arrosé d’un thé vert pour elle et d’un grand coca pour moi. Menu classique mais néanmoins très bon et jolie présentation.

Il nous reste de la place pour un dessert. Ça tombe bien, la carte propose des pancakes. Les classiques au sirop d’érable pour elle. Pour moi ce sera chocolat banane. 10 minutes plus tard toujours pas de pancakes en vue. La serveuse a oublié notre commande. Elle ramène les classiques en s’excusant. Et les chocolat banane ? Ah oubliés. Pour se faire pardonner, elle nous offre nos desserts. Classe.

Nous aurons beaucoup de mal à finir nos trois méga pancakes hyper moelleux chacun.

Ce lunch américain nous aura coûté 38,50€ boissons comprises sans les desserts (54,50€ avec). Pas excessif si on tient compte du quartier et de la qualité/quantité des assiettes.

Le Coffee Parisien

4, rue Princesse (6ème)

Tél : 01.43.54.18.18

Vendredi cinéma : Big Fish (2003)

Edward Bloom : You don’t know me, but my name is Edward Bloom … and I love you. I’ve spent the last three years working to find out who you are. I’ve been shot, stabbed, and trampled a few times. I broke my ribs twice. But it’s all been worth it to see you here now … and to finally get to talk to you. Because I’m destined to marry you. I knew it when I saw you at the circus, and I know it now more than ever.

Sandra Templeton : I’m sorry.

Edward : You don’t have to apologize to me. I’m the luckiest person you’ll find today.

Sandra : No, I’m sorry I’m engaged to be married. But you’re wrong. I do know you. At least by reputation. Edward Bloom from Ashton. See, I’m actually engaged to a boy from Ashton. Don Price. He was a few years older than you.

Edward : Well… Congratulations. I’m sorry to have bothered you.

Sandra : Stop it! It’s not funny. That poor boy.

Fate has a cruel way of circling around on you. After all this work to leave Ashton … the girl I love was now engaged to one of its biggest jerks. There’s a time when a man needs to fight … and a time when he needs to accept that his destiny’s lost … the ship has sailed, and that only a fool will continue. Truth is, I’ve always been a fool.

Edward : Sandra Templeton, I love you, and I will marry you!

Teacher : So as you can see, if we apply these rules to our everyday life … supply and demand makes much more sense. Take a look at the next graph, and the import of this will be even stronger…

Sandra : Daffodils!

Edward : They’re your favorite flower.

Sandra : How did you get so many?

Edward : I called everywhere in five states. I told them it was the only way to get my wife to marry me.

Sandra : You don’t even know me.

Edward : I have the rest of my life to find out.

Don : Sandra!

Sandra : It’s Don. Promise you won’t hurt him.

Edward : If that’s what you want, I swear to it.

Don : Bloom?

Edward : Don.

Don : What the hell are you doing? This is my girl. Mine!

Edward : I wasn’t aware that she belonged to anyone.

Don : What’s the matter? Are you too scared to fight back?

Edward : I promised I wouldn’t.

Sandra : Stop it! Don, stop!

While I took the beating of a lifetime, Don Price was ultimately defeated. All the physical activity had worsened a congenital valve defect. Put simply, his heart wasn’t strong enough.

Sandra : Don! I will never marry you.

Don : What? You mean, you love this guy?

Sandra : He’s almost a stranger, and I prefer him to you.

As it turned out, Sandra was able to keep her same date at the chapel.

Tim Burton à la Cinémathèque Française

Tim BurtonAprès Brune Blonde, après Stanley Kubrick, la Cinémathèque Française propose depuis quelques semaines de partir à la découverte de l’œuvre de Tim Burton. J’y suis allé. Impressions.

Conçue par le MoMA en 2009, Tim Burton, l’exposition, retrace donc la carrière de ce réalisateur américain à travers ses films. De Pee-wee’s Big Adventure en 1985 à Alice in Wonderland en 2010.

On y retrouve beaucoup de croquis, de dessins, de notes, de peintures et de sculptures. Bref on plonge directement dans l’univers fantasmagorique de Burton. Et on découvre au passage son réel talent de dessinateur. Et son imagination débordante pour créer des créatures assez bizarres.

On passe devant les croquis qu’il esquissait quand il était ado aux figurines grandeur nature des noces funèbres, de ses photographies originales aux figurines de l’Etrange Noël de Monsieur Jack. Viennent ensuite l’univers coloré de Beetlejuice puis celui d’Edward Scissorhands qui présente un des arbres sculptés par Edward (un cerf), la tenue que portait Johnny Depp et une de ses étranges mains ciseaux … ou peut être est-ce ciseaux mains.

Un grand écran permet ensuite de se faire une idée de sa filmographie à travers des morceaux choisis. En bonus, la bande annonce de Dark Shadows prévu pour cette année.

Une vingtaine de têtes de Jack alignées, toutes représentant une humeur et des expressions différentes et quelques croquis viennent clore l’univers de The Nightmare Before Christmas.

On passe malheureusement très vite sur ses films suivants (Mars Attacks, La Planète des Singes ou encore Alice in Wonderland), les pièces présentées étant très peu nombreuses. C’est dommage.

L’exposition se termine sur la robe rouge que porte Eva Green dans Dark Shadows et des croquis originaux du réalisateur.

Tim Burton, l’exposition, c’est à la Cinémathèque Française jusqu’au 5 août.


Exposition Tim Burton à la Cinémathèque… par lacinematheque

Tim Burton, l’exposition

Budapest c’était…

Budapest c’était :

– ma première traversée du Danube

– le Grand Marché de Budapest

– l’Église Notre-Dame-de-l’Assomption de Budavár

– la soirée/nuit “what happens in Budapest stays in Budapest” avec mes roommates londoniennes

– la douceur et les couleurs d’automne de l’île Marguerite

– le Parlement Hongrois

– l’accueil, le charme et le sourire des hongroises

– Maverick Hostel & Ensuite, LA meilleure auberge de jeunesse où j’ai séjourné jusqu’à aujourd’hui

– le Château de Buda

– le Pont aux Chaînes

– les douceurs sucrées du café Gerbeaud

– l’avenue Andrassy et la Maison de la Terreur

– les bains Széchenyi et cette eau merveilleuse à 38°C

– la Grande Synagogue

Városliget et le château Vajdahunyad

Budapest c’était tout ça. Et bien plus encore. <3

Budapest en photos