Norvège : Tromsø, la Paris du Nord

Embarquement immédiat pour la Norvège porte 42. Vous quittez le sol français en fin de matinée. 2h20 plus tard, l’aéroport d’Oslo est en vue. Petite escale d’une heure avant de reprendre un vol pour le nord du pays.

16h. Vous apercevez l’ile de Tromsøya (la majeure partie de Tromsø est située sur cette île). Le soleil se couche lentement derrière les montagnes. Vous récuperez votre valise et prenez les clés de votre voiture de location. Vous sortez du parking. La neige s’est mise à tomber. Il fait déjà nuit.

Tromsø

Vous découvrez avec surprise que la majorité des rues ici n’ont pas de nom (mise à part dans le centre ville). Trouver votre logement s’annonce difficile même avec une carte de la ville. Vous faites un arrêt au supermarché, demandez votre route à la caissière qui n’en sait pas plus que vous et c’est le client devant vous qui vous explique le chemin à prendre avec la plus extrême gentillesse. Vous êtes du mauvais côté de l’île. Vous faites demi-tour et repassez devant l’aéroport.

Après avoir demandé votre chemin à 3 autres personnes vous voici enfin devant votre nouveau chez vous pour 2 nuits. Votre hôte vous accueille chaleureusement et vous montre votre chambre. Installation faite, vous décidez d’aller dîner. Le Burger King fera l’affaire pour un soir. Le centre ville est tout joli, la bibliothèque municipale moderne. Vous verrez le reste quand il fera jour. Vous traversez le pont jusqu’au continent pour admirer la cathédrale arctique de nuit avant de rentrer vous coucher.

Ishavskatedralen

Tromsø

Lendemain matin. Au petit déjeuner, vous faites la connaissance d’une des guests de la maison, une prof de yoga américaine qui vit en Egypte. Vous quittez la maison et prenez le téléphérique qui vous emmène sur la montagne Storsteinen à 420m au dessus du niveau de la mer. La vue sur Tromsø est à couper le souffle. Vous parcourez un chemin enneigé au bord de la falaise pour avoir différents points de vue avant de redescendre.

Snowy City

Untitled

Les températures étant toujours très froides, vous allez vous réchauffer chez Ølhallen, la brasserie la plus septentrionale de Norvège, autour d’une bonne pinte de bière. En fin d’après-midi la visite de la cathédrale arctique s’impose. L’architecture particulière est là pour rappeler que vous êtes dans un pays de montagnes. Vous passez la soirée dans le centre ville avant de regagner votre chambre.

Tromsø Harbor

Ølhallen

Ishavskatedralen

Lendemain matin. Il est 9h et vous quittez Tromsø, la “Paris du nord”, pour gagner l’île de Senja à 180kms de là…

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Home Sleep
Nansenveien 32
9007 Tromsø

Un week-end italien

C’était mon 5ème voyage en Italie. Mais contrairement aux autres, celui ci a eu un goût très particulier. En effet, je suis parti à la découverte des villages de mes grands parents maternels que je n’ai jamais connu.

Arrivé le vendredi soir à Rome, j’ai dormi près de l’aéroport de Fiumicino.

Le samedi matin j’ai récupéré ma voiture de location, une jolie Fiat 500 noire prénommée Francesca (oui j’aime donner des prénoms à mes voitures :p) direction le sud, à 150 kilomètres de Rome, dans la province de Frosinone à l’extrême sud de la région de la Lazio.

Je suis arrivé peu après 12h à Arpino, village de mon grand père.

Arpino
Arpino

Teintes chaudes pour les murs des maisons, toits en tuiles. La place du village, avec l’hôtel de ville, le bar des sports et l’église, est le lieu de toutes les rencontres. Les rues sont étroites et pentues, tellement étroites qu’une seule voiture peut circuler (et quand je dis une voiture c’est juste une voiture, c’est limite si on n’est pas obligé de rabattre les rétroviseurs pour passer).

Arpino
"500" Classic

Bref, j’ai passé mon samedi à arpenter ces rues, dans ce village qui a vu naître Cicéron en 106 avant JC !

La vue depuis la chambre d’hôtel était à couper le souffle. Le village au premier plan puis 5, 6 collines en arrière plan dont les contours se dessinaient à mesure que le soleil baissait sur l’horizon. Bonheur.

Sunrise
Full Moon

Le lendemain, je suis monté à Civitavecchia di Arpino, un village fortifié entouré de champs d’oliviers d’où on a une belle vue sur Arpino en contrebas.

Civitavecchia di Arpino
Arpino from Civitavecchia
Civitavecchia di Arpino

Avant de prendre la route pour Roccasecca, le village de ma grand mère situé à une trentaine de kilomètres, j’ai déjeuné dans un restaurant où on ne parlait qu’italien. Problème : je ne parle pas un mot d’italien. Enfin c’est ce que je croyais puisque on a réussi à se comprendre au final et que j’ai eu tout ce que j’avais commandé 🙂

Sur la route, un cinéma abandonné à Fontana di Liri et les montagnes enneigées.

Cinema
Snow

Arrivée à Roccasecca. Changement de décor.

Via Della Pace

Le vieux village est à flanc de montagne tandis que la partie plus récente s’étend dans la vallée. Roccasecca est beaucoup moins touristique qu’Arpino, beaucoup plus sauvage mais elle possède du charme.

Il gatto di Roccasecca

Le parcours classique m’emmena des rues étroites aux ruines d’un ensemble fortifié qui dominait toute la vallée. Là encore la vue était magnifique.

Roccasecca
Roccasecca
Italia

Après avoir passé la nuit à Cassino, être monté jusqu’à Monte Cassino de nuit sous la pluie et avoir croisé un sanglier sur le bord de la route, j’ai terminé mon week-end à déguster du fromage sur le marché de Colle San Magno, à une quinzaine de kilomètres au dessus de Roccasecca avant de reprendre l’avion à Rome.

En résumé : une jolie découverte que ce coin d’Italie un peu perdu entre les deux grandes Rome et Naples, des paysages magnifiques, des montagnes enneigées, des champs d’oliviers à perte de vue, des pâtes, du fromage et du vin à tomber, des gens extrêmement gentils et un retour aux sources qu’il me tarde de refaire.

Toutes les photos

Prague c’était…

Prague c’était :

– Le pont Charles à 8h du matin le dernier jour

– La fête foraine abandonnée

– La Traviata au Statni Opera

– La bière en plein air face à Notre Dame de Tyn

– l’île Kampa

– le goulash dans le château de Prague

– le club de striptease avec mes roommates français

– croiser Pierre Richard près du John Lennon Wall

– Bohemian Bagels

– l’horloge astronomique

– la maison qui danse

– la vue depuis la tour de Petrin

– les sculptures de David Cerny

– la place Venceslas et les rues alentours

– Si te dan miedo las relaciones serias … cásate con un payaso

Prague c’était tout ça. Et bien plus encore. <3

Prague en photos

Vienne c’était…

Vienne c’était :

– ma dernière traversée du Danube

– le château de Schönbrunn et la Gloriette

– le zoo de Vienne et YangYang the sleeping panda

– les apfelstrudels et les wiener schnitzels

– le Barbier de Séville à l’opéra

– le Belvédère

– le quartier de Kaisermühlen Vienna International Centre

– la fête foraine du Prater et la vue sur Vienne depuis la Grande Roue

– Gasometer

– l’Hôtel de Ville de Vienne et le Parlement Autrichien

– la Hundertwasserhaus

– la vue depuis la Tour du Danube

– la classe des bâtiments du centre ville

– Graben et Stephansplatz

– le Stadtpark

Vienne c’était tout ça. Et bien plus encore. <3

Vienne en photos

Budapest c’était…

Budapest c’était :

– ma première traversée du Danube

– le Grand Marché de Budapest

– l’Église Notre-Dame-de-l’Assomption de Budavár

– la soirée/nuit “what happens in Budapest stays in Budapest” avec mes roommates londoniennes

– la douceur et les couleurs d’automne de l’île Marguerite

– le Parlement Hongrois

– l’accueil, le charme et le sourire des hongroises

– Maverick Hostel & Ensuite, LA meilleure auberge de jeunesse où j’ai séjourné jusqu’à aujourd’hui

– le Château de Buda

– le Pont aux Chaînes

– les douceurs sucrées du café Gerbeaud

– l’avenue Andrassy et la Maison de la Terreur

– les bains Széchenyi et cette eau merveilleuse à 38°C

– la Grande Synagogue

Városliget et le château Vajdahunyad

Budapest c’était tout ça. Et bien plus encore. <3

Budapest en photos