Themapic fait peau neuve

Themapic

Themapic.

Le concept est simple : 1 thème, 1 invité, 4 photos !

Depuis plus d’un an, Celk19, D@dou et Prankster, trois photographes parisiens, font vivre le site Themapic en proposant chacun une photographie sur un thème qu’ils choisissent communément. Ils invitent à chaque fois un photographe, simple amateur ou plus professionnel, qui à son tour doit prendre une photo sur le thème imposé. C’est l’occasion pour lui de confronter sa vision avec celles des trois photographes et de présenter son travail.

A l’invitation de Celk19, j’ai participé au thème “Chocolate in my life” il y a quelques temps et ai pris beaucoup de plaisir à essayer de trouver une idée de photographie (qui je dois dire a été plutôt difficile à réaliser, le chocolat étant à chaque fois trop ou pas assez liquide sur la fraise). Aussi, quand elle m’a proposé de réaliser le nouveau logo du site, j’ai dit oui tout de suite !

Aujourd’hui, Themapic lance sa version 2. Un nouveau site tout beau tout neuf développé par Eric, un nouveau logo dessiné par moi et une publication bimensuelle. Avec un gentil manager Guillaume. Tous les mois, vous retrouverez deux thèmes, deux invités différents et donc deux fois plus de photos et de découvertes. Nouveauté du site : les photos seront uniquement au format carré. N’hésitez pas à participer vous aussi à l’aventure Themapic en envoyant vos photos sur les thèmes qui vous inspirent. Une place sera dédiée aux photos des lecteurs.

Alors à vos appareils photo ! Prêts ? Shootez !

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L’arnacoeur et Alice au pays des merveilles

Oui je sais les deux films ne datent pas d’hier mais je n’ai pas eu le temps d’en parler encore.

L'arnacoeurOn commence avec L’arnacoeur de Pascal Chaumeil avec Vanessa Paradis et Romain Duris.

Le pitch : Alex est briseur de couple professionnel. Sa méthode : la séduction. Sa mission : transformer n’importe quel petit ami en ex. Mais attention, Alex a une règle, il ne brise les couples que si la femme est malheureuse. Jusqu’au jour où il rencontre Juliette …

J’ai beaucoup ri (d’autres ont crié mais ça c’est une autre histoire). J’ai trouvé Romain Duris excellent en beau gosse mal rasé mais toujours bien propre sur lui, roi de l’arnaque cardiaque qui fait croire à n’importe quelle fille que … “Mais enfin, tu m’as réveillé ! Ca faisait longtemps que je ne m’étais pas senti aussi vivant ! Mais pour moi c’est trop tard … Je suis loin, je suis ailleurs. Je ne peux plus tomber amoureux. Mais toi … toi … Tu mérites le meilleur !”. Neeeext !!!

Quand à Vanessa Paradis woohhh. Je l’ai trouvé so glam’ dans ce film. Depuis Elisa jusqu’à son Divinidylle Tour ce 17 octobre 2007 à Angers (même que c’était mon anniv ce jour là et que Vanessa Paradis, Mathieu Chédid et Albin de la Simone ils ont joué que pour moi … et quelques autres mais on s’en fiche),  je la trouve de plus en plus belle à mesure qu’elle vieillit. Mais comment fait-elle ?

Bref, une comédie romantique sympathique et une mention spéciale pour le remake de Dirty Dancing dans le restaurant italien. Parce qu’au final, on dira ce qu’on voudra mais on laisse pas Bébé dans un coin !

Alice au pays des merveillesAlice in wonderland de Tim Burton avec Johnny Depp, Mia Wasikowska, Helena Bonham Carter.

Du Burton sans Burton. Ou plutôt du Burton avec une petite (grosse) cuillère de Disney dedans. C’est un peu l’impression que j’ai eu en sortant de la séance. Certes Alice reste sombre, dans la lignée des autres films du réalisateur, mais tout de même moins noir qu’un bon Sleepy Hollow ou qu’un Beeteljuice, moins fascinant et poétique qu’un Big Fish ou qu’un Edward aux mains d’argent. En même temps, j’avoue que c’est difficile de comparer ce film aux autres vu qu’ils se déroulent tous dans des univers différents.

Alice est un bon divertissement, Johnny Depp est égal à lui même en chapelier fou (c’est à dire complètement barré, lutin j’adore ce mec). On passe deux très bonnes heures au pays des merveilles, sur une merveilleuse musique de Danny Elfman (compositeur attitré de Burton) et on en oublierait presque que la 3D ne sert strictement à rien dans ce film (mis à part avoir une tête de bip avec ces grosses lunettes). Et c’est le père d’Alice qui conclura cet article :

“Alice : Père, suis-je folle ?
Père d’Alice : Oui, je crois bien que tu es totalement déboussolée, mais je vais te confier un secret, Alice, la plupart des gens bien le sont.”

I’m Here de Spike Jonze

Quand j’ai découvert la bande annonce de ce court métrage chez Osmany il y a un mois et demi, j’ai tout de suite été séduit. Par le film et le concept de la mise en scène. Imaginez vous dans un container transformé pour l’occasion en mini salle de cinéma et posé près du Centre Georges Pompidou. C’est bon vous imaginez ? Cette séance de cinéma itinérante avait lieu du 17 au 29 mars sur le parvis du musée mais malheureusement je n’ai pas eu le temps d’y aller.

Heureusement, depuis quelques jours, sur http://www.imheremovie.com, vous pouvez profiter du film, certes sans l’ambiance mais c’est déjà ça.

I’m Here, c’est l’histoire d’amour de deux robots vivant à Los Angeles. Deux robots qui ont l’air tellement humain dans leur comportement, dans leur façon d’agir que l’on oublierait presque que ce ne sont que des machines. Un film émouvant, plein de sensibilité et techniquement bluffant. Et puis une fin tellement pfiouuuu. Ça fait du bien un tel débordement d’amour parfois.

A noter que la bande son est absolument magnifique, Aska Matsumiya en tête.

A noter aussi que c’est la marque de vodka Absolut qui a entièrement financé et donné carte blanche au réalisateur pour faire ce qu’il voulait.

A noter enfin que le container (et donc le film) sera sous la verrière du 104 du 4 au 16 mai 2010 et un peu partout en France durant l’été. Peut être alors que je retournerais le voir. Juste pour l’ambiance.

Comment vous êtes encore là ? Mais dépêchez vous d’aller voir ce film : http://www.imheremovie.com

Spike Jonze “I’m Here” from BLAST on Vimeo.

Découvertes du vendredi : Les Cowboys Fringants et She & Him

J’aime les après midi musicaux comme ça. Où tu découvres des artistes qui te mettent la patate ou au contraire t’apaisent complètement. Hier j’ai eu les deux.

Les Cowboys FringantsJe ne connaissais les Cowboys Fringants que de nom grâce à David, grand fan qui a eu l’occasion de les shooter deux fois en concert. Maintenant je connais leur musique et je peux vous dire que ça déboite sa grand mère. Non les Cowboys Fringants ne sont pas américains. Ils sont québécois. Leur musique : un mélange de folk, de country, des textes hyper justes et des mélodies qui te donnent envie de danser au milieu des grands espaces canadiens en reprenant en coeur les refrains. Un vrai bonheur pour les oreilles. Ils réussissent à te mettre une ambiance du tonnerre (il n’y a qu’à écouter le live enregistré au Zénith de Paris pour s’en rendre compte). La prochaine fois c’est décidé, avec ou sans appareil photo, je viens avec toi David ! Parmi les chansons que j’apprécie : Droit Devant, La Catherine, La Tête Haute, Les Etoiles Filantes. Vive le Québec !

Le concert au Zénith de Paris par David

Le concert au Casino de Paris par David

Les Cowboys Fringants

She&HimDeuxième découverte : She & Him. She c’est Zooey Deschanel. Him c’est M. Ward. Leur rencontre date de 2006. Depuis, deux albums ont vu le jour (Volume One et Volume Two). Du rock indépendant américain comme je l’apprécie. Des mélodies très 60’s, douces et sucrées qui me rappellent la Californie, ses routes, son soleil, des mélodies taillées pour prendre la route vers l’ouest en partant de Chicago par exemple ou pour sillonner la Californie du nord au sud. Parmi mes coups de coeur : Don’t Look Back, Lingering Still, Home, I Was Made For You …

Bon par contre la mauvaise nouvelle c’est que She & Him est en concert à l’Alhambra jeudi prochain et que je n’ai pas de place. Siouplé une bonne âme pour faire mon bonheur !

She & Him

SPAMALOT

spamalotVendredi dernier, je suis allé voir SPAMALOT, LA comédie musicale tirée du film “Sacré Graal” des Monty Python.

Après Broadway, Londres et Barcelone, le spectacle, mis en scène par Pef des Robin des Bois, était en effet à Paris jusqu’au 10 avril au théâtre Comédia.

L’histoire, connue de tous, est celle du Roi Arthur et des chevaliers de la table ronde dans leur quête du Saint Graal. Sauf qu’ici l’histoire prend de sérieuses distances avec l’originale. Entre Robin qui se fait dessus à chaque rencontre avec un chevalier, Lancelot qui fait son coming out lors d’un énorme show, Arthur qui finit par se taper La Dame du Lac (qui au passage à une voix à tomber), le french cancan et les interventions de Zorro et du Roi Lion, le spectacle était vraiment à mourir de rire.

Que dire d’autre sinon que je me suis marré du début à la fin malgré un son un peu pourri là où on était placé.

Que dire d’autre sinon que l’orchestre, dirigé par Mathieu Gonet, jouait en live les chansons et que rien que pour ça, c’était la classe.

Que dire d’autre sinon que c’était complètement loufoque, déjanté, barré, rempli de jeux de mots pourris, de vannes à deux balles et de décors qui ont coûté super chers à la production (dixit à maintes reprises Arthur/Pef lors de l’épisode de la forêt).

Que dire d’autre sinon qu’en me rendant aux toilettes à l’entracte, j’ai croisé Pascal Légitimus puis que Omar (sans Fred) est venu faire un petit coucou à la fin du show.

Que dire d’autre sinon que Always look on the brightside of life