Un samedi soir sur la terre …

Elle était là hier soir

Et est arrivée avec une heure de retard

Ou bien c’est moi qui est arrivé avec une heure d’avance

Mais tout cela n’a pas d’importance

Elle a beaucoup parlé

Moi un peu moins

On a bien rigolé

Et starbucké près de Saint Germain.

Hier soir le froid n’était pas invité

On a donc décidé de beaucoup marcher

Pour aiguiser son sens de l’orientation peu développé

Mais je crois que ça n’a pas fonctionné :p

Elle était là hier soir

Et a mis du soleil

Sur le ciel gris trottoir

D’un Paris aux merveilles.

Pourquoi je n’ai pas de Facebook ?

Article spécial dédicacé à Romiiiiiiiiiii.

Suite à un harcèlement incessant de la part de la plus jolie des graphistes argentines, autrement dit ma chère Romina, pour que je m’inscrive enfin sur Facebook, j’ai décidé de lui répondre, enfin de te répondre, dans cet article. Je vais tenter de te prouver en 7 points (pourquoi 7 ? Je ne sais pas. Et pourquoi pas ?) que je n’ai nul besoin de ce site, que l’on peut travailler dans le web sans forcément avoir un profil, bref que je vis très bien sans.

Bien évidemment, avant de critiquer Facebook (on ne peut critiquer que ce que l’on connait), je l’ai testé il y a quelques temps déjà. J’ai eu l’occasion de me familiariser avec l’ancienne et la nouvelle version. Constat.

Allez hop c’est parti :

Visibilité, Ranking. Je suis déjà inscrit sur de nombreux sites dits “de réseaux sociaux ou de mise en relation” (Viadeo, Linkedin, Ziki …), j’y ai détaillé sur chacun mon parcours professionnel, mes compétences … De ce fait, Google me référence très bien, je n’ai pas besoin de plus. Je suis visible sur le net sans Facebook.

Fiché. Un profil de plus pourquoi faire. Je suis fiché de partout sur internet vu le nombre de formulaires que je remplis, de commentaires que je laisse ici et là. Je crois que mes infos perso sont assez dispo sur le net pour ne pas en rajouter.

Inutilité. Je trouve Facebook inutile. Il y a trop d’applications, de quizz à la con qui ne servent à rien. Je trouve les deux versions trop fouillies, pas assez claires.

Double emploi. Un profil sur Facebook ne me servirait a rien. J’ai déjà tout à portée de main. Je partage mes photos, je peux créer des groupes avec flickr. Mon site web me permet de me présenter et de présenter mes travaux, Mon blog me sert à poser des mots sur tel ou tel sujet. Pour les petits mots et mes humeurs, j’ai mon twitter. J’uploade mes vidéos sur youtube et j’ai même ma boutique de tshirts sur spreadshirt. Bon ok j’ai pas les petits pandas que tu pourrais m’envoyer tous les jours.

Temps perdu. Quand je vois le temps que passe certains la dessus, je me dis que ce n’est définitivement pas pour moi. Je me rappelle du temps que je passais à l’époque sur le blog orange combiné à msn, c’était hallucinant. Vu le temps que je passe en plus sur le net (en même temps là pas trop le choix c’est mon boulot), avoir un Facebook n’est pas imaginable.

Ami(e)s. Mes ami(e)s ? Pas besoin de Facebook pour leur parler. J’ai leur téléphone, leur adresse, leur mail. Retrouver des anciens camarades de classes ou d’ailleurs ? Copainsdavant le fait très bien. Et il est français. Entrer en relation avec des professionnels ? Viadeo et Linkedin. Le café ? Ah ouais non y’a pas encore de site qui propose de le faire.

Mouton. Pour le prochain point je sais que tu vas me traiter d’attardé original (c’est l’expression que tu as employé je crois). Et oui c’est bien ça le mot : originalité. Et pas l’autre :p Pourquoi faire comme tout le monde. Bon ok c’est LE phénomène. Oui et alors ? Est-on obligé de suivre le mouvement sous prétexte que c’est in d’avoir un Facebook ? Je préfère m’investir dans des sites et des technologies qui me correspondent plutôt que de pocker des gens à longueur de journée ou d’étaler mes humeurs façon message personnel de msn.

Voilà 🙂

Je ne sais pas si j’ai réussi à te convaincre. Cela m’étonnerait fort. Mais je peux me tromper.

On aura l’occasion d’en reparler samedi … autour d’un Frappuccino.

Act, don’t talk !

I like this kind of people. He makes me stronger, more powerful, more inspired. He gives me fishing and makes me think everything is possible when we want it. It’s all about believe in what you do and try, try, try.


Morten Lund speech at BIC 2008 from Seb Oehme on Vimeo.

I love the video with coldplay music at the end 🙂

He was at LeWeb08 last week. But not me. I was working hard on teacheo.com.

Viewed on Patrice Cassard blog

Al dente

Parfois, une simple recherche sur Google images vous fait découvrir des endroits merveilleux. La bocca della verita est de ceux-là.

A la recherche du logo “Starbucks” sur internet, je suis tombé par hasard sur un blog de critiques de bars et restaurants parisiens (http://critikparis.unblog.fr/). Devant sortir ce jeudi, un article sur un restaurant italien à retenu mon attention. L’auteur ayant aimé le lieu, je me suis dit pourquoi pas essayons-le. Allez hop, rendez-vous était pris avec Coralie et Arnaud pour jeudi soir.

A deux pas de l’église Saint Germain et du Bon Marché, La Bocca della Verita (la bouche de la vérité dans la langue de Laura Pausini. Ou Eros Ramazzotti c’est comme vous voulez) est situé dans une petite ruelle calme et pleine de charme, loin du bruit du boulevard Saint Germain et de la rue de Rennes pourtant tout proche.

Un accueil chaleureux, un décor cosy, une lumière agréable et une ambiance sonore fleurant bon la péninsule adriatique nous mettent déjà l’eau à la bouche. La carte, avec ses classiques et ses spécialités, va finir de nous charmer.

Pour ma part, ce sera taglioni au saumon, pistache et vodka, vraiment excellentes. Les linguini à l’encre de seiche et les tortellini à la truffe blanche avaient apparament l’air aussi délicieux. Même si l’encre de seiche n’est pas conseillé si tu veux conserver ton sourire ultrabright. Le tout arrosé d’un bon rosé italien. Que demander de plus ? Ah oui peut être un tiramisu (un poil trop fort sur le café) et un délicieux cappuccino pour terminer cette agréable soirée.

Bref, une bonne adresse à conserver.

Buona notte 🙂

La Bocca della Verita, 2/4 rue du Sabot, Paris 6ème