I’ll be there for you
When the rain starts to pour
I’ll be there for you
Like I’ve been there before
I’ll be there for you
‘Cuz you’re there for me too…
Vous êtes à Greenwich Village. A l’angle de Grove Street et de Bedford Street. Devant l’immeuble qui a servi de décor extérieur à plus de 10 ans de Friends. C’est dans cet immeuble qu’ont élu domicile ces trentenaires new yorkais. Vous attendez de voir sortir Rachel mais il faut bien vous rendre à l’évidence que cela n’arrivera pas 🙂
Vous quittez le quartier et allez vous reposez avec les étudiants de la New York University au Washington Square. Vous en profitez pour admirer son magnifique arc de triomphe.
A 5 minutes à pieds, sur 4th street, vous attendez l’ouverture des portes du Blue Note Jazz Club, célèbre club de jazz new yorkais. On vous installe près de la scène. Burger et verre de vin. Ambiance cosy. Nir felder, jeune guitariste entre sur scène, accompagné d’un pianiste, d’un batteur et d’un violoncelliste. Assister à un concert tout en déjeunant, quel pied ! 1h30 plus tard, vous quittez les lieux non sans avoir échangé quelques mots avec l’artiste.
Votre couple vous désole ? Vous vous lamentez de vivre seul ? « Scènes de Ménages » va vous aider à relativiser.
Lundi soir, je me suis rendu dans les locaux de M6 à Neuilly pour assister à l’avant première de la nouvelle série “Scènes de Ménages” qui sera diffusée tous les soirs à 20h05 du lundi au vendredi à partir du 9 novembre.
Adapté du concept espagnol “Escenas de matrimonio” diffusé sur Telecinco, Scènes de Ménages suit trois couples de générations différentes dans tout ce qui fait leur vie quotidienne : bonheur, moment de romantisme, sexe, disputes en tous genres … bref la vie de couple pour le meilleur mais surtout pour le pire !!!
Marion et Cédric, les trentenaires joués par Audrey Lamy et Loup-Denis Elion.
Liliane et José, les quinquagénaires (Valérie Karsenty, Frédéric Bouraly).
Huguette et Raymond, les septuagénaires (Marion Game, Gérard Hernandez).
Produite par Alain Kappauf, déjà à l’origine des succès de Caméra Café et de Kaamelott, la série est découpée en saynètes de 1 à 3 minutes environ pour un format total de 21 minutes chaque soir. Bref de l’instantané, de la rapidité, de la légèreté pour cette série 100% française.
Place au déroulement de la soirée. Après une coupe de Champagne cuvée spéciale M6 et quelques petits fours pour nous aider à tenir, nous rejoignons l’auditorium de M6 pour visionner le premier épisode de la série. Dès les premières minutes, les mots fusent, les situations comiques aussi. Au vu des rires qui retentissent dans la salle, le concept a l’air de plutôt bien fonctionner. 21 minutes plus tard, les lumières se rallument. Bien sûr chacun a son petit couple préféré, sa scène ou ses répliques cultes. Les sourires ne quittent plus les spectateurs.
S’en suis une séance de questions/réponses entre le public et Alain Kappauf.
Puis, nous retournons dans la salle qui nous a accueilli au début. Champagne, macarons, petits fours. Séance photo improvisée avec les comédiens.
Nous sortons dans le patio pour prendre l’air. Nous sommes rejoins par Audrey et Loup-Denis (qui imite très bien le dauphin au passage) avec qui nous discutons autour d’une dernière coupe de Champagne. Il se fait tard, il n’y a déjà plus personne chez M6, nous sommes les derniers à partir.
Si vous aimez bien rire devant votre télé, vous moquer des petits travers des autres en vous disant que finalement ce mec il est un peu comme vous et que cette fille, elle ressemble étrangement à votre copine, rendez vous à partir du lundi 9 novembre à 20h05 sur M6. En attendant, vous pouvez toujours aller faire un tour sur le mini-site créé pour l’occasion et regarder quelques extraits.
Quand Continental veut communiquer auprès du grand public, on peut dire qu’elle ne lésine pas sur les moyens. Pour notre plus grand bonheur.
Dimanche 6 septembre, comme une vingtaine d’autres blogueurs, j’avais rendez-vous sur le circuit d’Abbeville dans la Somme pour les Conti Safety Days. Organisée par TriBeCa et Continental, cette journée pilotage avait pour objectif de nous faire tester la résistance des pneumatiques Continental. Et croyez moi, on s’est tous donné à fond pour essayer d’user la gomme au maximum.
Dimanche matin, 5h. Je me réveille après 2h de sommeil (en voici la cause). Chose bizarre, j’ai la pêche pour un dimanche matin. Ouais en même temps, à quelques heures d’ici, une Porsche m’attend bien sagement. 6h30, j’arrive à Bastille où est fixé le point de rendez vous avec les blogueurs, le car et l’équipe de TriBeCa. Petit déj sympathique avant de prendre la route.
Deux heures plus tard (enfin je crois because j’ai dormi), le circuit automobile d’Abbeville est en vue. Passé la grande arche Continental, toute l’équipe du manufacturier nous accueille avec un large sourire. Les bolides sont déjà là, les uns à côté des autres. La pluie fine aussi. Pas grave, nous rentrons sous la grande tente pour un second petit déj. Café, croissant, le bonheur. Nous recevons un sac rempli de goodies et une veste super chaude qui n’est pas superflue avec ce temps.
Quelques instants plus tard, nous nous asseyons tous pour la présentation de la journée. Mais avant ça, présentation du groupe. Et bien figurez vous que Continental ne fait pas que du pneu !! Si si c’est vrai. Et qu’ils sont souvent dans les meilleurs de leur catégorie. Si si c’est vrai. Et qu’ils planchent déjà sur le pneu de demain, celui qui alliera en même temps sécurité et économie d’énergie. Puis viennent les choses sérieuses. Le pilotage. Plus particulièrement le freinage. 4 ateliers nous sont proposés. Et chacun conduira toutes les voitures. Youpiiiiii !!!!!!!
Nous partons vers le circuit à bord des voitures et sommes divisés en deux groupes. Premier atelier : lancé à 130km/h puis freinage à fond sans arrêt. Deuxième atelier : à 110km/h dans une courbe pour tester un peu comment réagi l’esp. Sur sol sec ou sur sol mouillé quand le tracteur passait par là avec sa citerne. Je prends place à bord de la Renault Mégane R26. Elle n’a l’air de rien comme ça mais waoooh c’est un vrai cheval de course cette voiture. Premier tour, je prends mes marques, deuxième tour un peu plus cool, troisième on se lâche un peu plus. J’essaie ensuite la Clio RS puis monte comme passager dans la BMW M3. Impressionnant. C’est l’heure de changer d’ateliers. Troisième atelier : virage, freinage et slalom entre les plots. Quatrième atelier : éviter un obstacle puis un autre sans freiner. Là encore les pneus sont mis à rude épreuve et l’esp fait des merveilles sur le dernier atelier. Je prends place cette fois ci à bord de la mythique Subaru Impreza STI.
Vient l’heure du déjeuner au restaurant du circuit. Enooooorrme est le mot. Et vraiment bon. Discussion très agréable et très enrichissante avec un ingénieur de chez Continental. Je suis devenu maintenant incollable sur les pneumatiques.
Retour sur le circuit pour refaire les quatre ateliers. Là encore, nous changeons souvent de voiture et devenons plus à l’aise à mesure que le temps passe et que le nombre de tours de circuit augmente. Je termine la journée avec la Porsche Cayman S et la BMW M3 dans les mains. Mythique. J’en rêve encore.
Retour au camion pour un goûter et afin de laisser le temps à l’équipe de remettre en état le circuit pour la surprise de cette fin de journée. Puis nous regagnons tous les abords du circuit et quatre par quatre montons dans des voitures pour vivre à fond deux tours de circuits à côté de vrais bons pilotes. Et là les sensations sont décuplées. Rien à voir avec le reste de la journée. Je monte dans une Mégane R26 et fait même la course avec la seconde Mégane. Au coude à coude, c’est impressionnant. C’est le pied !!!!
Nous quittons l’équipe Continental un peu à regret et prenons le chemin du retour en direction Paris. Une très belle journée, des voitures de rêve, des sensations fortes et des pneus Continental qui tiennent la route. What else ?
Grâce à TriBeCa, j’ai assisté jeudi soir à mon premier concert à la Boule Noire. Et quel concert. The Noisettes, un trio londonien que j’ai découvert en début de semaine grâce à leur myspace. Et même si mon iMac est assez fidèle niveau son, je dois dire qu’en live, ce groupe déchire encore plus.
Une première partie animée par The Rodeo, du pop folk américain qui passe bien et qui m’a permis de me régler niveau photo pour la tête d’affiche. La salle est assez sombre (normal pour un concert vous allez me dire) et les éclairages pas idéales pour les portraits. Enfin bon, je m’en suis bien sorti je pense.
30 minutes plus tard, The Rodeo quitte la scène. Je profite du mini entracte pour me faufiler avec Céline au plus près de la scène. Là, bien installé, j’attends avec impatience l’arrivée de Shingai Shoniwa. La musique débute et la panthère black entre en scène.
Une voix à tomber qui résonne dans toute la salle. Et des jambes, des jambes interminables …
D’ailleurs, elle ne met pas de temps à les faire bouger, emmenant avec elles tout son corps, sautant d’un bout à l’autre de la scène, jouant avec le batteur, s’accrochant au plafond …
L’ambiance est survoltée, The Noisettes c’est de l’énergie à l’état brut. Shingai saute alors de la scène et traverse le public pour se retrouver au milieu de la salle pour une chanson. L’ambiance devient alors plus calme mais est de courte durée. Dès son retour sur scène, elle remet le feu à La Boule Noire. Le concert se termine après un rappel sur la reprise de “Children of the revolution”.
Les lumières se rallument. Il me faut quelques minutes pour reprendre mes esprits et comprendre qu’il n’y a plus aucun bruit. Mes oreilles elles ne sont pas de cet avis. Elles jouent encore “Don’t upset the rhythm” et la font résonner dans ma tête. Pour mon plus grand bonheur.