Oui je sais les deux films ne datent pas d’hier mais je n’ai pas eu le temps d’en parler encore.
On commence avec L’arnacoeur de Pascal Chaumeil avec Vanessa Paradis et Romain Duris.
Le pitch : Alex est briseur de couple professionnel. Sa méthode : la séduction. Sa mission : transformer n’importe quel petit ami en ex. Mais attention, Alex a une règle, il ne brise les couples que si la femme est malheureuse. Jusqu’au jour où il rencontre Juliette …
J’ai beaucoup ri (d’autres ont crié mais ça c’est une autre histoire). J’ai trouvé Romain Duris excellent en beau gosse mal rasé mais toujours bien propre sur lui, roi de l’arnaque cardiaque qui fait croire à n’importe quelle fille que … “Mais enfin, tu m’as réveillé ! Ca faisait longtemps que je ne m’étais pas senti aussi vivant ! Mais pour moi c’est trop tard … Je suis loin, je suis ailleurs. Je ne peux plus tomber amoureux. Mais toi … toi … Tu mérites le meilleur !”. Neeeext !!!
Quand à Vanessa Paradis woohhh. Je l’ai trouvé so glam’ dans ce film. Depuis Elisa jusqu’à son Divinidylle Tour ce 17 octobre 2007 à Angers (même que c’était mon anniv ce jour là et que Vanessa Paradis, Mathieu Chédid et Albin de la Simone ils ont joué que pour moi … et quelques autres mais on s’en fiche), je la trouve de plus en plus belle à mesure qu’elle vieillit. Mais comment fait-elle ?
Bref, une comédie romantique sympathique et une mention spéciale pour le remake de Dirty Dancing dans le restaurant italien. Parce qu’au final, on dira ce qu’on voudra mais on laisse pas Bébé dans un coin !
Alice in wonderland de Tim Burton avec Johnny Depp, Mia Wasikowska, Helena Bonham Carter.
Du Burton sans Burton. Ou plutôt du Burton avec une petite (grosse) cuillère de Disney dedans. C’est un peu l’impression que j’ai eu en sortant de la séance. Certes Alice reste sombre, dans la lignée des autres films du réalisateur, mais tout de même moins noir qu’un bon Sleepy Hollow ou qu’un Beeteljuice, moins fascinant et poétique qu’un Big Fish ou qu’un Edward aux mains d’argent. En même temps, j’avoue que c’est difficile de comparer ce film aux autres vu qu’ils se déroulent tous dans des univers différents.
Alice est un bon divertissement, Johnny Depp est égal à lui même en chapelier fou (c’est à dire complètement barré, lutin j’adore ce mec). On passe deux très bonnes heures au pays des merveilles, sur une merveilleuse musique de Danny Elfman (compositeur attitré de Burton) et on en oublierait presque que la 3D ne sert strictement à rien dans ce film (mis à part avoir une tête de bip avec ces grosses lunettes). Et c’est le père d’Alice qui conclura cet article :
“Alice : Père, suis-je folle ?
Père d’Alice : Oui, je crois bien que tu es totalement déboussolée, mais je vais te confier un secret, Alice, la plupart des gens bien le sont.”